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… des news sur la page Facebook de CACH France…
An overview of my last 15 years expeditions and collaboration on field works for conservation and to fight endangered species and bones traffics in more than 30 countries around the world.
Bronze 2016
x cm
Lion bones a growing business in Asia, will push the lions in Africa to extinction. After the cruel hunt, the bones are sold to the Asian markets, to be used in a wine or made into a cake. The ruthless exploitation of the lion does not end with the canned hunt.
Squeezing the last buck out of the lion, the breeder now sells the bones to the Asian market. The lion’s bones will be sold to the Asian markets to make lion bone cake for medicinal purposes, regardless of the fact that there is no medicinal value in them. These bones fetch millions of dollars and the industry is growing. The bones are fraudulently marketed in Asia as Tiger bone wine or cake. The concoction includes lion bones, deer antler, turtle shells and monkey bones. After boiling, the concoction is added to rice wine for the Chinese market, and compressed into tiger bone cake, which is favoured in Vietnam. Chinese shamans regard the bones of wild lions and tigers as being more potent than those of captive-bred animals.
The growth of the lion bone trade is going to cause an horrendous upsurge in the poaching of wild lions, who are already under threat from persecution and hunting, thereby pushing them closer to regional extinction in Africa.
http://www.cannedlion.org/lion-bones.html
Le business des os de lion en pleine croissance en Asie va amener les lions d’Afrique à l’extinction. Après la chasse cruelle, les os sont vendus sur les marchés asiatiques, pour être utilisé dans un vin ou sous forme de cake. L’exploitation impitoyable du lion ne se termine pas avec la chasse « en boîte ». Pressant le lion jusqu’au dernier dollar, l’éleveur vend maintenant les os sur le marché asiatique. Les os seront vendus sur les marchés asiatiques pour faire du cake d’os de lion à des fins médicinales, indépendamment du fait qu’il n’y a aucune valeur médicinale en eux. Ces os rapportent des millions de dollars et l’industrie est en pleine croissance. Les os de lion sont frauduleusement commercialisés en Asie comme os de tigre, vin ou gâteau. La concoction comprend des os de lion, bois de cerf, les carapaces de tortues et des os de singe. Après la cuisson, la concoction est ajouté au vin de riz pour le marché chinois, et comprimé dans cake d’os de tigre prisé au Vietnam. Les chamans chinois considèrent les os des lions et des tigres sauvages comme étant plus puissant que ceux des animaux élevés en captivité. La croissance du commerce des os de lion, commence à provoquer une recrudescence effroyable dans le braconnage des lions sauvages, qui sont déjà sous la menace de la persécution et de la chasse, les poussant ainsi plus vite vers une extinction régionale en Afrique.
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Wall painting realized to separate two pontoons on the borders of the Annecy lake, inspired from de pontoons of Como and Maggiore lakes, from the frescoes of Pompeii / Herculanum and from the Tuscan villas.
Peinture murale réalisée pour une séparation de pontons voisins au bord du lac D’Annecy, inspirée des pontons des lacs de Côme et Majeur, des fresques de Pompéi / Herculanum et des villas toscanes.
Bronze 2016
19 x 12 cm
The drastic melting ice in the Arctic is a marked effects of climate change. But polar bears depend on sea ice for hunting, mating, walk and live. The International Union for Conservation of Nature (IUCN) has identified the polar bear as a vulnerable species.
If we can not stop climate change, scientists predict a dramatic population decline. Arctic sea ice melts at present at a rate of 13.4% per decade. In January 2016, the sea ice reached its lowest recorded level. In a 2011 analysis, it was estimated that if the breaking spring ice came a month earlier than in the 1990s, then from 40 to 73% of female polar bears in western Hudson Bay could no longer able to reproduce … What could cause short-term risk of extinction for the species.
La fonte drastique de la banquise en Arctique est un des effets marqués des changements climatiques. Or, l’ours polaire dépend de la banquise pour chasser, s’accoupler, se promener et vivre. L’Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN) a identifié l’ours polaire comme une espèce vulnérable.
Si l’on ne parvient pas à enrayer les changements climatiques, les scientifiques prévoient un déclin dramatique des populations. La banquise arctique fond à présent à un rythme de 13,4 % par décennie. En janvier 2016, la banquise a atteint son point le plus bas jamais enregistré. Dans une analyse de 2011, il a été estimé que si la rupture des glaces au printemps arrivait un mois plus tôt que dans les années 1990, alors de 40 à 73 % des ours polaires femelles dans l’ouest de la baie d’Hudson pourraient ne plus pouvoir se reproduire…Ce qui pourrait engendrer à court terme un risque d’extinction pour l’espèce.
http://www.wwf.ca/fr/conservation/arctique/la_fonte_de_habitat_arctique/
Bronze 2016
19 x 12 cm
The drastic melting ice in the Arctic is a marked effects of climate change. But polar bears depend on sea ice for hunting, mating, walk and live. The International Union for Conservation of Nature (IUCN) has identified the polar bear as a vulnerable species.
If we can not stop climate change, scientists predict a dramatic population decline. Arctic sea ice melts at present at a rate of 13.4% per decade. In January 2016, the sea ice reached its lowest recorded level. In a 2011 analysis, it was estimated that if the breaking spring ice came a month earlier than in the 1990s, then from 40 to 73% of female polar bears in western Hudson Bay could no longer able to reproduce … What could cause short-term risk of extinction for the species.
La fonte drastique de la banquise en Arctique est un des effets marqués des changements climatiques. Or, l’ours polaire dépend de la banquise pour chasser, s’accoupler, se promener et vivre. L’Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN) a identifié l’ours polaire comme une espèce vulnérable.
Si l’on ne parvient pas à enrayer les changements climatiques, les scientifiques prévoient un déclin dramatique des populations. La banquise arctique fond à présent à un rythme de 13,4 % par décennie. En janvier 2016, la banquise a atteint son point le plus bas jamais enregistré. Dans une analyse de 2011, il a été estimé que si la rupture des glaces au printemps arrivait un mois plus tôt que dans les années 1990, alors de 40 à 73 % des ours polaires femelles dans l’ouest de la baie d’Hudson pourraient ne plus pouvoir se reproduire…Ce qui pourrait engendrer à court terme un risque d’extinction pour l’espèce.
http://www.wwf.ca/fr/conservation/arctique/la_fonte_de_habitat_arctique/
Bronze 2016
19 x 12 cm
The drastic melting ice in the Arctic is a marked effects of climate change. But polar bears depend on sea ice for hunting, mating, walk and live. The International Union for Conservation of Nature (IUCN) has identified the polar bear as a vulnerable species.
If we can not stop climate change, scientists predict a dramatic population decline. Arctic sea ice melts at present at a rate of 13.4% per decade. In January 2016, the sea ice reached its lowest recorded level. In a 2011 analysis, it was estimated that if the breaking spring ice came a month earlier than in the 1990s, then from 40 to 73% of female polar bears in western Hudson Bay could no longer able to reproduce … What could cause short-term risk of extinction for the species.
La fonte drastique de la banquise en Arctique est un des effets marqués des changements climatiques. Or, l’ours polaire dépend de la banquise pour chasser, s’accoupler, se promener et vivre. L’Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN) a identifié l’ours polaire comme une espèce vulnérable.
Si l’on ne parvient pas à enrayer les changements climatiques, les scientifiques prévoient un déclin dramatique des populations. La banquise arctique fond à présent à un rythme de 13,4 % par décennie. En janvier 2016, la banquise a atteint son point le plus bas jamais enregistré. Dans une analyse de 2011, il a été estimé que si la rupture des glaces au printemps arrivait un mois plus tôt que dans les années 1990, alors de 40 à 73 % des ours polaires femelles dans l’ouest de la baie d’Hudson pourraient ne plus pouvoir se reproduire…Ce qui pourrait engendrer à court terme un risque d’extinction pour l’espèce.
http://www.wwf.ca/fr/conservation/arctique/la_fonte_de_habitat_arctique/
Bronze 2016
19 x 12 cm
The drastic melting ice in the Arctic is a marked effects of climate change. But polar bears depend on sea ice for hunting, mating, walk and live. The International Union for Conservation of Nature (IUCN) has identified the polar bear as a vulnerable species.
If we can not stop climate change, scientists predict a dramatic population decline. Arctic sea ice melts at present at a rate of 13.4% per decade. In January 2016, the sea ice reached its lowest recorded level. In a 2011 analysis, it was estimated that if the breaking spring ice came a month earlier than in the 1990s, then from 40 to 73% of female polar bears in western Hudson Bay could no longer able to reproduce … What could cause short-term risk of extinction for the species.
La fonte drastique de la banquise en Arctique est un des effets marqués des changements climatiques. Or, l’ours polaire dépend de la banquise pour chasser, s’accoupler, se promener et vivre. L’Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN) a identifié l’ours polaire comme une espèce vulnérable.
Si l’on ne parvient pas à enrayer les changements climatiques, les scientifiques prévoient un déclin dramatique des populations. La banquise arctique fond à présent à un rythme de 13,4 % par décennie. En janvier 2016, la banquise a atteint son point le plus bas jamais enregistré. Dans une analyse de 2011, il a été estimé que si la rupture des glaces au printemps arrivait un mois plus tôt que dans les années 1990, alors de 40 à 73 % des ours polaires femelles dans l’ouest de la baie d’Hudson pourraient ne plus pouvoir se reproduire…Ce qui pourrait engendrer à court terme un risque d’extinction pour l’espèce.
http://www.wwf.ca/fr/conservation/arctique/la_fonte_de_habitat_arctique/
Bronze 2015
9 x 17 cm
The drastic melting ice in the Arctic is a marked effects of climate change. But polar bears depend on sea ice for hunting, mating, walk and live. The International Union for Conservation of Nature (IUCN) has identified the polar bear as a vulnerable species.
If we can not stop climate change, scientists predict a dramatic population decline. Arctic sea ice melts at present at a rate of 13.4% per decade. In January 2016, the sea ice reached its lowest recorded level. In a 2011 analysis, it was estimated that if the breaking spring ice came a month earlier than in the 1990s, then from 40 to 73% of female polar bears in western Hudson Bay could no longer able to reproduce … What could cause short-term risk of extinction for the species.
La fonte drastique de la banquise en Arctique est un des effets marqués des changements climatiques. Or, l’ours polaire dépend de la banquise pour chasser, s’accoupler, se promener et vivre. L’Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN) a identifié l’ours polaire comme une espèce vulnérable.
Si l’on ne parvient pas à enrayer les changements climatiques, les scientifiques prévoient un déclin dramatique des populations. La banquise arctique fond à présent à un rythme de 13,4 % par décennie. En janvier 2016, la banquise a atteint son point le plus bas jamais enregistré. Dans une analyse de 2011, il a été estimé que si la rupture des glaces au printemps arrivait un mois plus tôt que dans les années 1990, alors de 40 à 73 % des ours polaires femelles dans l’ouest de la baie d’Hudson pourraient ne plus pouvoir se reproduire…Ce qui pourrait engendrer à court terme un risque d’extinction pour l’espèce.
Bronze 2015
9 x 17 cm
The drastic melting ice in the Arctic is a marked effects of climate change. But polar bears depend on sea ice for hunting, mating, walk and live. The International Union for Conservation of Nature (IUCN) has identified the polar bear as a vulnerable species.
If we can not stop climate change, scientists predict a dramatic population decline. Arctic sea ice melts at present at a rate of 13.4% per decade. In January 2016, the sea ice reached its lowest recorded level. In a 2011 analysis, it was estimated that if the breaking spring ice came a month earlier than in the 1990s, then from 40 to 73% of female polar bears in western Hudson Bay could no longer able to reproduce … What could cause short-term risk of extinction for the species.
La fonte drastique de la banquise en Arctique est un des effets marqués des changements climatiques. Or, l’ours polaire dépend de la banquise pour chasser, s’accoupler, se promener et vivre. L’Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN) a identifié l’ours polaire comme une espèce vulnérable.
Si l’on ne parvient pas à enrayer les changements climatiques, les scientifiques prévoient un déclin dramatique des populations. La banquise arctique fond à présent à un rythme de 13,4 % par décennie. En janvier 2016, la banquise a atteint son point le plus bas jamais enregistré. Dans une analyse de 2011, il a été estimé que si la rupture des glaces au printemps arrivait un mois plus tôt que dans les années 1990, alors de 40 à 73 % des ours polaires femelles dans l’ouest de la baie d’Hudson pourraient ne plus pouvoir se reproduire…Ce qui pourrait engendrer à court terme un risque d’extinction pour l’espèce.
http://www.wwf.ca/fr/conservation/arctique/la_fonte_de_habitat_arctique/
Bronze 2015
9 x 17 cm
The drastic melting ice in the Arctic is a marked effects of climate change. But polar bears depend on sea ice for hunting, mating, walk and live. The International Union for Conservation of Nature (IUCN) has identified the polar bear as a vulnerable species.
If we can not stop climate change, scientists predict a dramatic population decline. Arctic sea ice melts at present at a rate of 13.4% per decade. In January 2016, the sea ice reached its lowest recorded level. In a 2011 analysis, it was estimated that if the breaking spring ice came a month earlier than in the 1990s, then from 40 to 73% of female polar bears in western Hudson Bay could no longer able to reproduce … What could cause short-term risk of extinction for the species.
La fonte drastique de la banquise en Arctique est un des effets marqués des changements climatiques. Or, l’ours polaire dépend de la banquise pour chasser, s’accoupler, se promener et vivre. L’Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN) a identifié l’ours polaire comme une espèce vulnérable.
Si l’on ne parvient pas à enrayer les changements climatiques, les scientifiques prévoient un déclin dramatique des populations. La banquise arctique fond à présent à un rythme de 13,4 % par décennie. En janvier 2016, la banquise a atteint son point le plus bas jamais enregistré. Dans une analyse de 2011, il a été estimé que si la rupture des glaces au printemps arrivait un mois plus tôt que dans les années 1990, alors de 40 à 73 % des ours polaires femelles dans l’ouest de la baie d’Hudson pourraient ne plus pouvoir se reproduire…Ce qui pourrait engendrer à court terme un risque d’extinction pour l’espèce.
http://www.wwf.ca/fr/conservation/arctique/la_fonte_de_habitat_arctique/
Bronze 2015
9 x 17 cm
The drastic melting ice in the Arctic is a marked effects of climate change. But polar bears depend on sea ice for hunting, mating, walk and live. The International Union for Conservation of Nature (IUCN) has identified the polar bear as a vulnerable species.
If we can not stop climate change, scientists predict a dramatic population decline. Arctic sea ice melts at present at a rate of 13.4% per decade. In January 2016, the sea ice reached its lowest recorded level. In a 2011 analysis, it was estimated that if the breaking spring ice came a month earlier than in the 1990s, then from 40 to 73% of female polar bears in western Hudson Bay could no longer able to reproduce … What could cause short-term risk of extinction for the species.
La fonte drastique de la banquise en Arctique est un des effets marqués des changements climatiques. Or, l’ours polaire dépend de la banquise pour chasser, s’accoupler, se promener et vivre. L’Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN) a identifié l’ours polaire comme une espèce vulnérable.
Si l’on ne parvient pas à enrayer les changements climatiques, les scientifiques prévoient un déclin dramatique des populations. La banquise arctique fond à présent à un rythme de 13,4 % par décennie. En janvier 2016, la banquise a atteint son point le plus bas jamais enregistré. Dans une analyse de 2011, il a été estimé que si la rupture des glaces au printemps arrivait un mois plus tôt que dans les années 1990, alors de 40 à 73 % des ours polaires femelles dans l’ouest de la baie d’Hudson pourraient ne plus pouvoir se reproduire…Ce qui pourrait engendrer à court terme un risque d’extinction pour l’espèce.
http://www.wwf.ca/fr/conservation/arctique/la_fonte_de_habitat_arctique/